Pelouse et problème après sécheresse : que faire ?

Même les jardiniers les plus passionnés et les plus expérimentés sont parfois contraints de faire face à des problèmes d’une autre nature qui affectent leur coin de verdure bien-aimé. En particulier, ceux qui possèdent une pelouse devront probablement faire face tôt ou tard à un grave problème esthétique : le jaunissement de la pelouse après sécheresse. Qu’elle soit en portions ou uniforme, l’herbe sèche ou jaunissante peut être causée par plusieurs facteurs, et chacun d’eux conduit à une solution ciblée et différente. C’est pourquoi il est important de comprendre d’abord les raisons de ce phénomène, en observant attentivement la situation, puis de peser la solution la plus appropriée au problème et de revenir à une pelouse saine et verte.

pelouse après sécheresse

Les problèmes de jaunissement de la pelouse affectent généralement un peu le gazon en toutes saisons (surtout après la sécheresse), avec un pic durant l’été. Les causes sont nombreuses et variées, et comprendre ce qui a causé le jaunissement n’est parfois pas simple.

Commençons !

Pelouse sèche et jaunie, à quoi cela est-il dû ?

 Les causes du jaunissement de la pelouse varient d’une saison à l’autre, ainsi qu’en fonction du type d’entretien et du climat auquel la pelouse est soumise. En général, la cause d’une pelouse jaunie peut être une fertilisation erronée ou absente : en particulier, en hiver, la pelouse peut jaunir en raison d’une erreur de fertilisation automnale. En effet, pendant la saison froide, il est essentiel que le gazon reçoive les nutriments adéquats : le potassium et l’azote ne peuvent pas manquer (ce dernier doit être progressivement donné au sol).

En hiver également, il est probable que les agents météorologiques et en particulier les agents thermiques affectent (généralement négativement) la santé de l’herbe. Les températures hivernales, en effet, risquent de faire geler le gazon (empêchant, avec la présence de neige, la photosynthèse correcte), les plantes peuvent être déshydratées par le vent glacial, la glace peut déchirer le tissu végétal, endommageant gravement la pelouse, ainsi que les changements rapides des températures hivernales créent le risque que la dormance naturelle de la pelouse soit interrompue. Enfin, il est bon d’éviter d’utiliser du sel pour faire fondre la glace, car il est extrêmement nocif pour le gazon sous-jacent.

Une autre cause tout à fait naturelle du jaunissement de la pelouse est la variété de la pelouse elle-même : s’il s’agit de Gramigna ou de Macroterme, en cas d’atteinte de températures très basses et proches de zéro, ces deux variétés se mettent au repos et interrompent la photosynthèse. Cela ne devrait pas nous inquiéter : à la fin de l’hiver, les semis seront sains d’eux-mêmes, sans avoir besoin d’engrais ou de traitements spéciaux.

Naturellement, parmi les raisons du jaunissement de la pelouse, on trouve également d’éventuelles maladies (en particulier, il y en a certaines favorisées par la présence de neige sur la pelouse ou à proximité de celle-ci) ou des parasites, qui seront traités de manière plus ciblée et de manière précise en fonction de la situation à laquelle nous sommes confrontés.

Il ne faut pas non plus sous-estimer l’excès d’eau auquel la pelouse est soumise pendant les saisons les plus humides et pluvieuses : dans ce cas, un excès d’eau peut être remarqué par la présence de flaques et de stagnations fréquentes à la surface du gazon. Cette condition peut être causée par un sol particulièrement argileux, et donc incapable d’absorber toute l’eau dont il est régulièrement alimenté. Une situation d’hydratation pérenne (et excessive) du gazon peut engendrer divers inconforts du gazon, tout d’abord la prolifération de champignons et de moisissures, ou encore le pourrissement de la base des semis qui le composent.

Dans le cas où la pelouse jaunissait uniformément, mais qu’en vous approchant de l’herbe vous remarquiez quelques fils jaunis alors que beaucoup d’autres étaient encore verts, la cause – très fréquente dans nos pelouses – serait simplement la composition de la pelouse. Elle sera probablement composée de différentes variétés de graminées, dont certaines entreront en état végétatif en hiver (car elles se développent en été), tandis que d’autres supporteront plus difficilement la chaleur que la saison hivernale et seront plus vertes durant cette dernière. . Si, d’autre part, un jaunissement total et uniforme de la pelouse se produit, le problème doit être abordé d’une manière différente, étant causé par le manque de nutriments et la difficulté que l’herbe trouve à faire face aux températures froides de l’hiver.

Une autre cause du jaunissement de la pelouse après sécheresse, doit toujours être recherchée dans la répartition de la couleur jaune le long du manteau : si vous remarquez que seule la partie supérieure des feuilles est brun jaunâtre, la cause est très probablement les lames de la tondeuse à gazon. Pas aiguisé correctement.

La fréquence à laquelle la pelouse est arrosée, ainsi que l’abondance de l’eau fournie, est un autre facteur à prendre en considération : il est souvent utile de remettre en question ses propres méthodes d’entretien de la pelouse, car, souvent, la cause d’un inconfort du même est une erreur que nous commettons nous-mêmes, plutôt qu’une cause extérieure. Si, par exemple, la pelouse était irriguée avec de petites portions d’eau assez fréquemment, seule la couche supérieure du sol s’humidifierait et les racines des plantes ne se développeraient que dans cette zone du sol. Par conséquent, la plante entière et en particulier son système racinaire seraient fortement affectés par les conditions extérieures, qui détermineraient le devenir de croissance des plantules. Si, par contre, la pelouse était arrosée le soir.

Problèmes avec la pelouse pendant l’été (et après la sécheresse)

Comme mentionné précédemment, l’une des causes du jaunissement de la pelouse en été est tout à fait naturelle et concerne le type de semis qui la compose : certaines espèces de graminées jaunissent en été car plus adaptées aux climats hivernaux, tandis que celles qui prolifèrent en été tournent jaune pendant la saison froide.

Les types de stress auxquels l’herbe est soumise pendant la période chaude, et en particulier pendant celle d’août, sont différents de ceux de l’hiver, mais tout aussi nocifs. Tout d’abord, la chaleur est sans aucun doute une grande menace pour le bien-être de la pelouse, en particulier cette dernière peut être victime de chocs thermiques et être endommagée par la sécheresse sévère qui touche de nombreuses régions italiennes en été.

En particulier, un phénomène appelé « stress de sécheresse » se produit, qui se produit lorsque la quantité d’eau transpirée à cause de la chaleur et donc perdue de la pelouse n’est pas égale à la quantité d’eau absorbée. Les causes peuvent être nombreuses, du système d’irrigation inadéquat et probablement petit, à la mauvaise gestion du système lui-même, jusqu’au mauvais choix des plantes qui composent la pelouse, qui s’avèrent inadaptées au climat dans lequel elles ont été présenté.

Les facteurs qui influencent la probabilité d’apparition de ce type de stress concernent les températures, la quantité d’eau distribuée et la composition du sol. En maîtrisant ces aspects de votre pelouse, vous pourrez donc prévenir un stress de sécheresse qui s’avérerait trop nocif.

Dans un autre cas, toujours durant l’été ou le printemps, la pelouse peut présenter des zones sèches le long de son manteau, malgré une irrigation uniforme et adéquate. La cause de l’apparition de ces taches est attribuable au sol : là où il y a une composition du sol qui le fait absorber moins d’eau, et donc plus imperméabilisé, des taches jaunes se formeront. La responsabilité de ce problème peut être attribuée à plusieurs causes : tout d’abord, la présence de champignons ou de substances non décomposées qui recouvrent le sol peut empêcher le passage d’une quantité suffisante d’eau pour qu’il soit adéquatement hydraté, sinon il faut pour analyser la composition du sol, et vérifier si dans certaines zones il est plus argileux que d’autres ou s’il y a une pente qui empêche l’eau d’être absorbée avant de s’écouler.

Enfin, le nombre d’heures d’ensoleillement que la pelouse reçoit chaque jour ne doit pas être sous-estimé, ce qui doit être pris en considération lorsqu’il s’agit de fournir à l’herbe une irrigation adéquate.

Jaunissement de la pelouse après en avoir pris soin

Parfois, bien que nous mettions beaucoup de passion dans l’entretien de notre coin de pelouse, des problèmes semblent survenir immédiatement après des interventions de notre part.
Un exemple classique est la pelouse qui s’avère sèche ou jaunie après avoir été coupée avec la tondeuse à gazon. Les causes peuvent être nombreuses et la plupart du temps elles ne sont pas liées à la coupure elle-même. Si après la coupe habituelle de l’herbe on remarque un jaunissement des brins d’herbe à la pointe (peut-être combiné avec l’effilochage classique), le problème vient probablement des lames ternes de la tondeuse à gazon. En fait, toute plante, si elle n’est pas coupée correctement, est affectée de manière résolument incisive, en particulier dans la zone de la coupe.

Un problème plus grave peut survenir si nous coupons l’herbe de manière irrégulière au fil du temps. Si, par exemple, on tond l’herbe toutes les semaines et le même nombre de centimètres, alors on s’absente pendant trois semaines et à notre retour on fait une coupe beaucoup plus importante en centimètres, cela pourrait non seulement abîmer et assécher l’herbe, mais même Tue-la. L’ampleur de l’impact de cette coupe soudaine sur l’herbe dépend à la fois de l’espèce de la plante et de la période pendant laquelle elle est coupée. Certaines espèces de graminées tolèrent mieux que d’autres les coupes très courtes, et si l’on parle de plantes déjà faibles à une certaine période de l’année, cela ne peut qu’aggraver la situation.

Une autre cause de jaunissement de l’herbe fraîchement coupée peut être l’excès de feutre. Le feutre est le dépôt de feuilles mortes et séchées combiné aux résidus du jardin qui se forme à la base des plantes et qui au fil du temps s’épaissit de plus en plus, formant une couche compacte de couleur jaunâtre. Au moins une fois par an, le feutre doit être enlevé, pour permettre à l’herbe de respirer et pour éviter qu’elle n’entrave l’efficacité des éventuels engrais et fertilisants, ainsi que le ressemis.

Si, au contraire, nous fertilisons la pelouse de manière excessive ou incorrecte, surtout s’il s’agit d’une espèce de graminée sensible aux excès de nutriments, nous risquons de « brûler » la pelouse, voire de la tuer à certains endroits. Cela se produit pour plusieurs raisons : tout d’abord, vous risquez de tuer la pelouse en utilisant des engrais qui ne conviennent pas au type d’herbe qui la compose. Sinon, la pelouse risque d’être brûlée si une surdose d’engrais est appliquée, ce qui peut être facilement évité en suivant les instructions spécifiques à chaque engrais. Une autre cause peut être la mauvaise utilisation du chariot épandeur d’engrais, ou simplement l’utilisation d’un chariot médiocre et imprécis. Enfin, il est toujours nécessaire d’irriguer la pelouse après la fertilisation.

Comment résoudre le problème d’une pelouse jaunie après sécheresse ?

Maintenant que nous avons répertorié et examiné toutes les causes possibles du jaunissement de notre gazon, nous pouvons passer à la liste des solutions ciblées pour chaque cas.

Dans toutes les situations, la prévention est toujours le meilleur remède. Si nous sommes confrontés à une pelouse souffrant de stress de sécheresse ou qui pourrait potentiellement en souffrir, nous pouvons prévenir le problème de plusieurs façons. Tout d’abord, l’irrigation doit être adaptée au type de sol et d’herbe, ainsi qu’au climat.

Généralement, plus le sol est sableux, plus il faut d’eau pour bien l’hydrater. A titre indicatif, si nous sommes face à une prairie où dominent Poa Pratensis et Festuca Arundinacea, environ 3 litres par mètre carré par jour devraient suffire. Si, par contre, il s’agit d’une pelouse anglaise à feuilles fines, il faut au moins 4 litres par mètre carré et par jour. Une surface herbeuse dominée par Macroterme, en revanche, nécessite environ 3/3,5 litres par mètre carré chaque jour. Enfin, s’il s’agit d’une pelouse à l’ombre ou avec une abondance de Festuca Rubra, 2 litres par mètre carré par jour devraient suffire.

 Irriguer la pelouse après sécheresse

 Dans tous les cas, l’irrigation doit être effectuée de manière à obtenir environ 10/15 cm de sol humide. Il est également préférable d’arroser abondamment et moins fréquemment plutôt que l’inverse, car cela favorisera le développement d’un système racinaire plus vigoureux capable de résister aux conditions défavorables qui pourraient survenir (par exemple une chaleur excessive).

Le moment idéal pour irriguer est à l’aube, afin que l’évaporation de l’eau ne soit pas trop abondante immédiatement, mais en même temps elle est garantie dans un délai raisonnable. En plus de l’irrigation, dans une situation où la pelouse est soumise à un stress de sécheresse, il est également important de prendre soin de la coupe : étant une pelouse très basse plus exposée à la chaleur et aux dommages que des températures trop élevées peuvent causer, c’est une bonne idée d’augmenter de quelques millimètres (n’en faites pas trop ou vous risquez l’apparition d’autres problèmes) la hauteur de la pelouse coupée pendant les saisons plus chaudes. La fréquence de coupe, ainsi que sa longueur, doivent toujours être décidées en fonction de la croissance de l’herbe. Si les températures élevées ralentissent sa croissance, il faut donc diminuer proportionnellement le nombre de coupes effectuées.

Si, en revanche, nous sommes confrontés à des points secs (toujours en été), une fois les causes de leur formation identifiées, nous serons prêts à agir en conséquence. Si la raison réside dans un excès de feutre ou une infection fongique qui empêche l’eau d’atteindre le sol en quantité suffisante, il est conseillé d’appliquer des agents mouillants professionnels. Ceux-ci, agissant au sol, élimineront sa répulsion. Après leur application, il est nécessaire de procéder à une irrigation abondante. Si, au contraire, la raison réside dans la rétention d’eau du sol, qui est trop faible et ne permet pas aux plantes d’absorber des quantités d’eau suffisantes, il faut utiliser des rétenteurs d’eau, c’est-à-dire des produits qui retiennent l’eau et rendent progressivement disponible pour les semis.

Aération de la pelouse après sécheresse

Si, par contre, un excès de feutre pose problème, il suffit d’aérer périodiquement la pelouse (au moins une fois par an). Pour ce faire, vous pouvez utiliser des aérateurs ou des outils qui vous permettent de « peigner » la pelouse, en éliminant les résidus de feuilles et les débris présents.
Dans le cas où la pelouse est complètement jaunie en raison du manque de nutriments dans le sol, il sera nécessaire de la fertiliser en intégrant les substances manquantes. En particulier, il est utile de distribuer des engrais à base d’azote, de potassium et (surtout) de fer. En plus de cela, il est bon de fertiliser en automne avec un engrais granulaire à libération lente, afin de donner plus de force et de vigueur au gazon avant de le faire affronter l’hiver. En effectuant une bonne fertilisation, il est en effet simple d’éviter le jaunissement de la pelouse, c’est pourquoi l’herbe doit être fertilisée régulièrement (environ en automne et au printemps).
Il est nécessaire d’utiliser des engrais qui contiennent les bonnes quantités d’azote, de potassium et de fer, nutriments essentiels pour une croissance correcte de la plante. L’azote, en effet, est essentiel au bon développement de la photosynthèse de la chlorophylle, car c’est l’un des éléments à la base de la chlorophylle : pour cette raison, si une quantité adéquate d’azote est apportée, les brins d’herbe prennent un vert intense couleur.

Le rôle du potassium

 Le potassium, quant à lui, renforce les cellules de la plante, la rendant suffisamment solide pour pouvoir faire face aux changements brusques de température sans souffrir excessivement. Enfin, le fer est un élément fondamental pour la photosynthèse et pour les molécules de chlorophylle. S’il manque un seul de ces éléments dans l’herbe de notre pelouse, car ils sont tous fondamentaux et impliqués dans la croissance et la photosynthèse de la plante, il y aura sans aucun doute des problèmes plus ou moins graves résultant de cette carence.

 Le rôle fer et l’azote

 Le fer et l’azote étant directement impliqués dans le processus de photosynthèse, et étant à la base de la formation de la chlorophylle, c’est notamment leur carence qui détermine le jaunissement du gazon. Pour un développement correct de la photosynthèse, il est également nécessaire que la pelouse soit atteinte chaque jour par une quantité adéquate de lumière solaire, ce qui permettra l’apparition de réactions photosynthétiques. Pour cela, vous devez contrôler le nombre de débris et de feutre présents sur la pelouse.

Si, par contre, on se retrouve en hiver, puisqu’il y a souvent du givre ou de la glace sur l’herbe, il est bon d’éviter de marcher dessus, pour ne pas risquer d’abîmer davantage les tiges. Suite à un gel intense, lorsque le froid a maintenant disparu, il est également conseillé de rouler la pelouse, surtout si certaines parties de celle-ci ont augmenté à cause du gel.

Si la pelouse est recouverte de neige, elle ne doit pas être enlevée, car elle protège l’herbe des vents secs. Gardez à l’esprit que si la pelouse est ventilée à l’automne, en hiver, il y aura plus de risques de formation de glace due à l’eau stagnante suite à l’irrigation. Un fond drainant peut aider à diminuer la probabilité de formation de glace, car l’eau ne stagnera pas au niveau de la plante, mais plutôt en pénétrant profondément aidera à renforcer le gazon.

Pour faire face au givre qui se forme souvent en hiver, il suffit de l’éliminer par brossage. Enfin, l’utilisation d’engrais pendant la période hivernale n’est pas recommandée, mais des engrais d’urgence doivent être distribués au printemps, qui intégreront les substances qui manquent aux plantes. Cependant, il serait plus prudent de fertiliser à l’automne, afin d’agir de manière préventive.
Dans le cas où un excès d’engrais brûle la pelouse, il est conseillé d’enlever l’excès d’engrais à l’aide d’eau, puis d’irriguer pendant quelques jours (en faisant attention de ne pas aggraver la situation en provoquant l’apparition de maladies). Enfin, dans le cas où la pelouse est désormais desséchée et complètement jaunie, il est nécessaire de ressemer. Cela peut être fait au printemps, pour réparer les dégâts causés par l’hiver, ou à l’automne, pour subvenir à ceux de l’été. Avec le réensemencement, il sera possible de restaurer les zones où le gazon est excessivement desséché. A l’aide d’un râteau ou d’un outil adapté, on procède d’abord à l’élimination des parties sèches de la pelouse précédente, puis au défonçage de la couche supérieure du sol. Ensuite, les graines sont distribuées et, enfin, après avoir recouvert les graines de terre ou de sable, il faut rouler et irriguer.

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